(In)hospitalités urbaines

Le projet

Ce projet concerne la capacité d’accueil des villes, c’est-à-dire les formes d’hospitalité mais aussi d’inhospitalier auxquelles font face les nouveaux arrivants. Il s’agit d’un projet comparatif à Genève et Bruxelles. D’une part, nous nous intéressons aux parcours des nouveaux arrivants : comment ces personnes parviennent-elles à prendre place dans la ville? D’autre part, nous étudions les transformations économiques, politiques ou encore juridiques des villes et les recompositions des réponses institutionnelles, privées et marchandes aux enjeux d’accueil.
En multipliant les méthodes et par une approche comparative, ce projet vise à nourrir empiriquement et théoriquement les débats sur les effets de l’accroissement des mobilités et des migrations sur le commun des villes contemporaines et l’évolution des formes urbaines de précarité.
  • nous cherchons des personnes avec peu de ressources économiques
  • qui viennent d’arriver à Bruxelles ou Genève depuis maximum 3 à 6 mois
    et qui sont originaires de partout excepté d’Europe de l’Ouest et du Nord, d’Amérique du Nord et d’Océanie
  • il s’agit de participer à un entretien de manière anonyme; nous offrons un dédommagement

Pour nous contacter : 

Par mail : [email protected]

Equipe de recherche :

Dr. Luca Pattaroni, Marie Trossat, Dr Maxime Felder, Dr Guillaume Drevon, Dr. Joan Stavo-Debauge