
SYMPOÏÉTIQUE
ARTS DE FAIRE DE LA VILLE ÉCOLOGIQUE
Du mardi 28 février au lundi 15 mai 2023
Archizoom, bâtiment SG, EPFL
Open from Monday to Friday from 9:30 to 17:30
Saturday from 14:00 to 18:00
La culture écologique occupe une place grandissante dans la conception de la ville actuelle. Elle constitue le pivot à partir duquel il est possible d’énoncer de nouvelles manières de regarder, de procéder et d’opérer, fabriquant un ensemble d’arts de faire dans et pour la ville écologique.
Commissariat & Curation :
Archizoom, UR, bureau d’architecture et d’urbanisme.
ÉVÉNEMENTS
Vernissage lundi 27 février, 18h00, fr
Conférence d’ouverture
Gaétan Brunet & Chloé Valadié (UR)
Visite guidée lundi 27 mars, 17h00, fr
par les commissaires, sur inscription
Dialogue lundi 27 mars, 18h30, fr
Culture écologique * culture du projet
Pierre Charbonnier & Djamel Klouche (l’AUC)
Dialogue lundi 17 avril, 18h30,
Forme, langage, relation
Sophie Dars (Accattone) & Sébastien Martinez-Barat (MBL architectes)
Visite guidée lundi 8 mai, 17h00, fr
par les commissaires, sur inscription
Dialogue lundi 8 mai, 18h30, en
Agir avec l’incertitude
Ido Avissar (LIST) & Mio Tsuneyama (studio mnm)
Atelier pour enfants du mardi 11 au vendredi 14 avril
Cadavre exquis de la ville écologique
organisés avec Anna Pontais (SPS), sur inscription
Toutes les conférences sont aussi diffusées en direct sur Zoom.
ID de réunion : 646 5060 5823

SYMPOÏÉTIQUE
Sympoïétique est formé par le grec ποίησις/poíēsis, « œuvre, création, fabrication » et le préfixe σύν/sún « avec », « ensemble ». La poíēsis se rapporte à l’étude des potentialités inscrites dans une situation donnée, augurant d’une création nouvelle. Au sens littéral, la sympoïétique est par conséquent un faire fusionnel, un faire avec ou ensemble. Un faire qui ne serait pas l’affirmation autonome d’une vision, mais la révélation de potentialités ou l’explicitation d’un existant non encore révélé.
INTRODUCTION
Les mutations que connaissent actuellement nos sociétés et nos environnements mettent en crise notre manière d’être au monde. Elles interrogent ainsi notre capacité à faire acte de projet ou, plus concrètement, à fabriquer des visions prospectives et à y ancrer des ambitions tangibles.
Ce contexte nous incite à imaginer de nouveaux agirs permettant de s’inscrire dans l’incertitude. Il faut dépasser l’effroi – ne pas laisser faire – et inventer des actions capables de s’inscrire dans le régime climatique qui vient.
Passer d’une logique des objets autonomes aux objets en relation ouvre de nouvelles perspectives sur les interfaces, les formes et les processus. Articulée autour de ces trois chapitres, l’exposition montre la manière dont la culture écologique peut colorer, informer et renouveler la culture du projet.
Avec les contributions de
51N4E, Aequipe, AGUR-Dunkerque, Atelier Descombes Rampini, Atelier Fanelsa, B+ Arno Brandlhuber, Simon Boudvin, CENTRAL office for architecture and urbanism, Cookies, Wim Cuyvers, Sophie Dars, Antoine Devaux, Francis Jonckheere, Claudy, Jongstra, Kosmos architects, l’AUC, LIST, MBL architectes, Comte Meuwly, Louise Morin, Fuminori Nosaku, Office for Political Innovation, Ooze, Plant en Houtgoed, Pedro Prazeres, rebuiLT, Christopher Roth, Studio Céline Baumann, Jo Taillieu architecten, Ten studio, Mio Tsuneyama, V+, Philippe Vander Maren, Richard Venlet
« 2100 Nouvelles alliances de la métropole »
Maquette produite par UR, Peaks, Altitude 35 – avec les contributions de ZEFCO, Marie Cazaban-Mazerolles et Julien Claparède-Petitpierre et les photographies d’Antoine Espinasseau pour l’exposition Augures, commissionnée par Djamel Klouche, BAP! 2019
Remerciements particuliers à
Marie Cazaban-Mazerolles, Julien Claparède-Petitpierre, Gabriele Manoli, Sébastien Marot, Luca Pattaroni, Paola Vigano

Maquette produite par UR, Peaks, Altitude 35 – avec les contributions de ZEFCO, Marie Cazaban-Mazerolles et Julien Claparède-Petitpierre et les photographies d’Antoine Espinasseau pour l’exposition Augures, commissionnée par Djamel Klouche, BAP! 2019